Toute sa carrière durant, Dee Dee Bridgewater n’a eu de cesse de bâtir des ponts entre les genres musicaux. Ses premières expériences professionnelles remontent au légendaire Thad Jones/Mel Louis Big Band dont elle faisait partie à l’époque. Au long des années 70, elle se produit aux côtés de grands noms du Jazz tels que Max Roach, Sonny Rollins, Dexter Gordon ou Dizzy Gillespie. Dans les années 80, elle s’essaie à la pop puis déménage à Paris où elle recommence à focaliser son énergie sur le Jazz.

Chanteuse et pour la première fois productrice de son album Keeping Tradition (1993), elle créé DDB records en 2006 chez Universal Music Group. Depuis Bridgewater produit tous ses propres albums. Elle sort une série de titres largement salués par la critique, tous à l’exception d’un seul ont été nominés aux Grammy Awards. Parmi eux, on ne peut oublier l’énorme succès de Dear Ella, hommage à Ella Fitzgerald, album récompensé par deux Grammy Awards.

Voyageuse téméraire, exploratrice, pionnière et gardienne de la tradition, cette lauréate de trois Grammy Awards a reçu récemment le Grammy du meilleur Album de Jazz Vocal avec l’album Eleanora Fagan (1915-1959): To Billie With Love From Dee Dee.

Elle sera sur la scène de centre culturel Tjibaou le 2 décembre prochain !

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L’amour du verbe, la passion des muses, ne font pas oublier qu’André Manoukian est un pianiste de jazz avant tout. Si ses aventures l’ont conduit de la Berklee School à Boston vers les rivages plus médiatiques de jury de la Nouvelle Star et chroniqueur sur France Inter, il n’a jamais perdu pour autant sa boussole musicale. Au fil des années, celui que l'on surnomme "Dédé doigts de fée" a collaboré en tant que compositeur, arrangeur ou accompagnateur pour des artistes comme Michel Petrucciani, Gilbert Bécaud, Charles Aznavour et bien sûr Liane Foly qu'il a lancé.

Aujourd’hui, le répertoire sacré arménien de ses ancêtres lui ouvre un monde de nouvelles sonorités. Vous retrouvez André Manoukian au Festival Jazz à Nouméa. Il nous fera l'honneur d'interpréter son spectacle « Mes rêves d'Orient » offrant une très belle escapade orientale, ballade sensuelle, mélancolique et délicieuse au gré des notes du piano.

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Comme son nom l'indique, Funky Harry mélange habillement les sons funky taillés pour le dancefloor entre classic soul et funk des 70's, remix disco et hymnes hip hop revisités. Cet artiste a de quoi nous faire bouger le corps pendant des heures sur le dancefloor !

Derrière Funky Harry se cache, sous plusieurs noms de scène, Laurent Garrido a.k.a. DJ Harry Cover reconnu pour ses reprises qu'il mixe et transforme en sons atypiques, originaux et surprenants.

Que ce soit en chauffeur de salle ou en aftershows, il a joué avec R.E.M., Iggy Pop, Muse, Placebo et Morcheeba pour n'en citer que quelque-uns. Nulle doute qu'il nous ravira sur la scène de Jazz à Nouméa.

Autour d’une jeune chanteuse calédonienne Ivy REBEL, la formation de The Jackniel's propose un répertoire de morceaux populaires de The Police à David Guetta, Michael Jackson, Bee Gees, en passant par Justin Bieber avec des arrangements teintés de jazz, de soul, de gospel.